Le rêve d'être maman et parents se fait toujours attendre. Un adage dit que si tes rêves ne te font pas assez peur, il ne sont pas assez grand (traduction libre). Alors je peux dire que mon rêve est assez grand parce que je suis remplie d'émotions face à notre prochain essai en IAD. Le docteur m'a prescrit 6 essais, et on arrive au sixième. Je sens que c'est ma dernière chance et j'ai peur de la suite. Peur que le miracle ne se produise pas encore et que nous soyons confrontés à des épreuves encore plus dures. Passer à la Fécondation in vitro me « fou la chienne», sans trop savoir pourquoi parce que les chances de réussites augmentent tellement. En plus, la date prévue pour ma prochaine IAD est la même que mon retour au travail. C'est rien pour m'enlever du stress.
laissez-aller...? C'est ce que tout le monde me conseille. Je dois accepter que c'est difficile pour les petites graines de réussir à s'installer en moi sans me culpabiliser et m'accuser de tous les tords. La conception est un processus miraculeux qui demande un timing parfait dans un univers chaotique où chaque petite graine est attaquée par mes globules blancs. Je ne contrôle rien!
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